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LIRE
Poésie
Il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les allumettes
Jacques Prévert, Paroles, Il ne faut pas…
Étymologie
Lire < lat. legere = cueillir, choisir, rassembler, lire < rac. i.-e. *leg- qui signifie cueillir.
De son côté, légume < lat. legumen = la plante dont le fruit est une cosse ou une gousse, la légumineuse, le légume (en général). Legumen désigne en fait d’abord ce qui se cueille, d’où son appartenance à la famille de legere.
Domaines
La faune et la flore : légume, légumier, légumineuse
Les groupes humains : chasseur-cueilleur, collectivité, collège, collègue
Le travail manuel : collecte, collecter, collecteur, collectif, collection, collectionner, collectionneur, collectivement, cueille fruit, cueillette, cueilleur, cueillir, cueilloir, diligence, liseuse, lutrin, récoltant (< it.), récolte (< it.), récolter (< it.), récolteur (< it.), sélecter (ang.), sélecteur (< ang.)
Les arts : dialoguiste (< gre.), églogue (< gre.), florilège, recueil, spicilège
Les sentiments : accueil, accueillant, accueillir, collectif, collectivement, dilection, diligemment, diligence, diligent, diligenter, élégamment, élégance, élégant, inélégamment, inélégance, inélégant, légendaire, légende, légender, négligé, négligeable, négligemment, négligence, négligent, négliger, prédilection, recueillement, recueilli, recueillir, select (ang.), sélect (ang.)
La communication : apologétique (< gre.), apologie (< gre.), apologique (< gre.), apologiste (< gre.), apologue (< gre.), catalogue (< gre.), cataloguer (< gre.), colliger, dialectal (< gre.), dialectalisme (< gre.), dialecte (< gre.), dialogue (< gre.), dialoguer (< gre.), élégiaque (< gre.), élégie (< gre.), éloge (< gre.), élogieusement (< gre.), élogieux (< gre.), illisibilité, illisible, illisiblement, inintelligibilité, inintelligible, inintelligiblement, prologue (hyb.), recueil, recueillir, spicilège, vidéolecteur
La temporalité : horloge (< gre.), horloger (< gre.), horlogerie (< gre.)
La spiritualité : apologétique (< gre.), apologiste (< gre.), collégiale, martyrologe, récollection, récollet, sacrilège, sortilège
Le travail intellectuel : analogie (< gre.), analogique (< gre.), analogue (< gre.), apologétique (< gre.), apologie (< gre.), apologique (< gre.), apologiste (< gre.), apologue (< gre.), collège, collégial, collégialement, collégialité, collégien, dialecticien, dialectique, dialectiquement, élitaire, élite, élitisme, élitiste, illogique (hyb.), illogiquement (hyb.), illogisme (hyb.), inintelligence, inintelligent, intellect, intellection, intellectualisation, intellectualiser, intellectualisme, intellectualiste, intellectualité, intellectuel, intellectuellement, intelligemment, intelligence, intelligent, intelligentsia (rus.), intelligibilité, intelligible, intelligiblement, leçon, lecteur, lectorat, lecture, liseur, lisibilité, lisible, lisiblement, logarithme (< gre.), logique (< gre.), logiquement (< gre.), logisticien (< gre.), logistique (< gre.), mésintelligence, métalogique (hyb.), prélogique (hyb.), présélection, présélectionner, progiciel, relecture, relire, sélectif (< ang.), sélection (< ang.), sélectionné (< ang.), sélectionner (< ang.), sélectionneur (< ang.), sélectivement (< ang.), sélectivité (< gre.), syllogisme (< gre.), syllogistique (< gre.)
La politique : coéligible, collectivisation, collectiviser, collectivisme, collectiviste, collégialement, collégialité, décollectiviser, électeur, électif, élection, électivité, électoral, électoralisme, électoraliste, électorat, éligibilité, éligible, élire, inéligibilité, inéligible, préélectoral, réélection, rééligible, réélire
La médecine : collectionnisme, légionelles, légionellose (hyb.)
L’armée : légion, légionnaire
Divers : Éloi, Éloise, Éloïse
Le sens premier est d’abord, comme souvent, rural et agricole : il s’agit de cueillir, des plantes, des fruits, en choisissant ceux qui sont mûrs, ceux qui sont comestibles, en laissant les autres. La notion de tri est donc déjà bien présente. Pour illustrer cette nuance, on peut citer la cueillette, cueillir, la récolte, récolter. On peut ajouter la sous-famille de négliger. Négliger est composé de neg- (préfixe négatif : cf. l’entrée non) et de « -liger » au sens de cueillir, d’où sélectionner, prendre. Négliger, c’est ne pas cueillir, ne pas faire cas de quelque chose, une faveur par ex. Se négliger, c’est ne pas prendre soin de soi.
Ce qui se cueille pour être mangé (cosse ou gousse) est étymologiquement un légume, d’où le terme légumineuse. Le terme concerne toute plante dont les graines, les feuilles, les tiges ou les racines se consomment, sans que ces éléments soient cueillis au sens strict. Dans une perspective culinaire et non botanique, on distingue artificiellement les légumes et les fruits.
Le sacrilège cueille, ramasse, vole les objets sacrés du temple. C’est ensuite un profanateur, un impie. Le terme spicilège, étymologiquement parlant, désigne l’action de glaner : l’opération consiste à choisir (-lège) des épis (spici-). Aujourd’hui, on est passé de l’action à son résultat, et le spicilège est un recueil d’actes, de pièces, de traités, un ensemble de morceaux choisis, de pensées, d’observations, et au Québec un cahier personnel illustré de photos. Peut-on appeler spicilège un herbier ? Ce serait un superbe retour aux sources.
La cueillette peut se transformer en choix dans des contextes autres que l’agriculture : la présélection, sélectif, la sélection, sélectionner, la sélectivité, l’électeur, l’élection, élire, l’élite, l’élitisme. L’adj. élégant, quant à lui, signifie littéralement « qui sait choisir », qu’il s’agisse de vêtements, de bijoux, de paroles. L’élégance est une marque de délicatesse, de goût, de distinction.
C’est aussi à partir de cette nuance de choisir qu’on peut expliquer la sous-famille de intelligence. Certes, l’intelligence est la faculté de percevoir, la compréhension, l’aptitude à discerner, à saisir, à comprendre, mais c’est étymologiquement l’aptitude à choisir (-ligence) entre (inter- devenu intel-) plusieurs solutions, à opérer des choix judicieux. De là l’intellect, intellectualiser, l’intellectualité, l’intelligentsia, l’intelligibilité… C’est à partir de cette même nuance de choisir que s’explique la diligence. Le lat. a un vb, « diligere », dont le sens premier est « prendre (-ligo) de côté et d’autre (di-) », « choisir », d’où « distinguer », « honorer », « aimer ». La diligence est la capacité d’un être à se montrer attentionné, attentif, appliqué, zélé, empressé. Pour aider et être agréable, il intervient vite, d’où le nom qu’a pris la voiture de transport collectif qui promettait des déplacements rapides. Diligenter, c’est faire ou faire faire quelque chose avec diligence. La dilection, avec la même formation, illustre le sens d’honorer, d’aimer.
Dans le voc. religieux, la dilection est un amour pur et pénétré de tendresse spirituelle. La prédilection est un choix, une préférence. Le sortilège, à savoir l’action de jeter un sort, l’action qui semble magique, renvoie à une définition réductrice du choix comme résultat d’un tirage au sort.
Choisir n’est pas un geste gratuit, et la nuance suivante, rassembler, renvoie à la finalité du choix. Pour illustrer cette nuance, on peut citer la collecte, le collecteur, collecter, le catalogue, cataloguer, colliger (réunir en recueil), le collège, la collégiale, le collégien, la collégialité, le collègue, le florilège, le recueil, la collection, collectionner, recueillir, la légion (troupe assemblée), les légionelles (agent pathogène de la légionellose dont le sg. est inusité), la légionellose (ces deux derniers termes font référence à l’appellation « maladie du légionnaire », décrite pour la première à l’occasion d’un congrès de l’American Legion), le légionnaire, la récolte (dans certains emplois). Sur recueillir, on a la forme pronominale se recueillir, c’est-à-dire se concentrer, d’où le recueillement. La récollection, dans le voc. religieux, est un recueillement, une retraite spirituelle de courte durée. Les récollets sont (Littré) des « religieux réformés de l’ordre de Saint-François, ainsi nommés de ce que, par esprit de récollection, ils demandèrent au pape Clément VII, en 1531, la permission de se retirer dans des couvents particuliers, pour y observer à la lettre la règle de leur patriarche », donc se livrer à la récollection. Sur la collection définie comme réunion, rassemblement, on a le collectif, la collectivité, voire le collectivisme, c’est-à-dire l’ensemble formé par la réunion de particularités, de personnes. C’est à partir de ce sens de « rassembler » qu’on peut expliquer accueillir. En a. fr., accueillir a signifié « pousser vers », « rassembler en poussant devant soi », « réunir », avant de prendre le sens de « recevoir » qui (CNRTL) est sans doute influencé par le calque grec de colligere, à savoir sunagein, qui signifie « mener avec soi », « admettre près de soi », d’où « recevoir ».
Pour tout un chacun, la nuance la plus évidente de la racine, c’est évidemment lire, c’est-à-dire « parcourir un texte des yeux en en déchiffrant le sens ». L’étymologie nous rappelle que lire, c’est, dans un texte, « sélectionner (choisir) des fragments (des empans) dans un certain ordre qui répond à des capacités individuelles (largeur de chaque empan) et des normes culturelles (texte lu de haut en bas ou de bas en haut, de gauche à droite ou de droite à gauche) ». Sur cette nuance de lire, on peut citer illisible, le lecteur, la lecture, la liseuse, la lisibilité. La leçon est d’abord l’action de lire, puis le contenu de cette lecture, à portée morale, religieuse, didactique, etc. Le lutrin, letrin en a. fr., avec un [
u]
influencé par lu, le part. passé de lire, est un pupitre, souvent destiné à porter les livres de chant liturgique. Le mot légende, quant à lui, a d’abord signifié, en conformité avec son étymologie, « ce qui doit être lu », puis, parmi d’autres sens techniques, « la notice explicative mise en bas d’un dessin, d’un tableau », d’où le vb légender, « le récit populaire, plus ou moins fabuleux, transmis par la tradition », le récit mythique, d’où l’adj. légendaire, « l’ouvrage contenant le récit de la vie des saints », « l’histoire fausse », « le mensonge ». La Fontaine illustre ironiquement le sens religieux du mot légende dans la fable Le Rat qui s’est retiré du monde, au livre VII de ses fables.
De très nombreux termes, empruntés par le lat. au grec, renvoient au sens de « parole », dérivé du sens de lire. C’est d’abord le cas de l’éloge : en lat., l’éloge (elogium) est une simple note, une observation, un codicille, une inscription sur un ex-voto, une inscription tumulaire, une épitaphe. Le mot a subi une influence grecque, à partir de eulogia, le beau langage, les belles paroles, la louange, l’éloge. La nuance de brièveté a disparu au profit de celle de louange. Il est aussi possible (CNRTL) que le mot éloge soit emprunté par le lat. (elogium) au grec élégeion, qui désigne le distique (ensemble de deux vers), l’épitaphe en distiques, l’inscription poétique, le chant de deuil, l’élégie, avec une influence de eulogia qui a mis l’accent sur la louange au détriment de la brièveté du discours.
Le mot élégie, lui, qui est donc peut-être à l’origine de la formation du mot éloge, désigne une pièce de vers (élégiaques, donc de distiques), et aujourd’hui un petit poème dont le sujet est triste ou tendre. L’églogue, de son côté, est un petit poème pastoral, sens qui existait déjà en bas lat. (egloga), à partir du sens de choix, recueil, extrait en lat. classique, lui-même emprunté au grec eklogè signifiant l’action de choisir, l’extrait d’un auteur. L’églogue est littéralement un choix (-logue) à partir (ég- pour ex-) d’un ensemble. Le dialogue, lui, est un entretien, une conversation (-logue) entre (dia-) deux personnes, deux groupes de personnes, et, par métonymie, le contenu de cet entretien. Le terme quitte la sphère de l’oral pour concerner aussi celle de l’écrit au théâtre.
Le dialecte est (Littré) le « parler d’une contrée, d’un pays étendu, ne différant des parlers voisins que par des changements peu considérables qui n’empêchent pas que de dialecte à dialecte on ne se comprenne, et comportant une complète culture littéraire ». Le préfixe « dia- » insiste sur la capacité à échanger, à se comprendre. La dialectique est quant à elle l’art de discuter, « la méthode de raisonnement (Larousse) qui consiste à analyser la réalité en mettant en évidence les contradictions de celle-ci et à les dépasser » dans ce qu’il est convenu d’appeler une synthèse. En Grèce, le mot « logos » (la parole) s’est spécialisé dans le sens de « discours raisonnable », de « raisonnement », de « raison ». La logique (science logique au départ) est la science des lois du raisonnement, puis l’ouvrage qui traite de cette science, la disposition naturelle que l’on a à raisonner juste, l’enchaînement cohérent des idées. Le mot logistique, comme adj. ou subst., renvoie d’abord en mathématique à ce qui concerne en algèbre les quatre opérations de base (addition, soustraction, multiplication, division), puis, comme subst., à la science pratique du calcul. Le terme s’applique en particulier (Larousse) pour « l’ensemble des opérations ayant pour but de permettre aux armées de vivre, de se déplacer, de combattre et d’assurer les évacuations et le traitement médical du personnel ». D’une manière générale, c’est (Larousse) « l’ensemble de méthodes et de moyens relatifs à l’organisation d’un service, d’une entreprise, etc., et comprenant les manutentions, les transports, les conditionnements et parfois les approvisionnements ».
L’analogie est un discours réalisé d’après (ana-) la raison (-logie). Elle définit un rapport, une similitude entre plusieurs choses différentes. Raisonner par analogie, c’est former un raisonnement fondé sur les rapports ou sur les ressemblances en tant qu’elles indiquent des rapports. En mathématiques, on parle d’analogie pour désigner un rapport, une proportion. L’apologie, elle, est étymologiquement un discours (-logie) qui écarte (apo-) toute critique, toute accusation, toute contestation. C’est donc un discours en faveur de quelqu’un ou d’un principe. De là l’apologiste, apologique, apologétique. L’apologue, quant à lui, dérive de l’apologie. C’est un petit récit d’un fait vrai ou inventé, par lequel on veut présenter une vérité instructive. On peut aussi définir l'apologue comme l’exposé d’une vérité morale. Il rejoint en cela l’apologie) sous une forme allégorique. C’est la forme que prend l’argumentation quand elle est indirecte, comme c’est le cas dans la parabole, la fable, le fabliau, le conte… Le prologue est un discours (-logue) qui précède (pro-) une œuvre, qui en constitue aussi souvent la première partie. Au théâtre, dans l’Antiquité, le prologue est la partie de la pièce qui précède l’entrée du chœur et expose le sujet. Le martyrologe est une liste (-loge) ou un catalogue des martyrs, de là une liste de ceux qui sont morts pour une cause. Le syllogisme, lui, est une forme de raisonnement conclusif qui procède par réunion (grec sun- devenant syl-, équivalent du lat. cum-) de propositions. À une vérité générale, la majeure (par ex. « Tous les hommes sont mortels »), on applique une vérité particulière, la mineure (par ex. «t; Or Untel est un homme »), qui permet de poser une conclusion (par ex. « Donc Untel est mortel »). Le web fourmille de sites proposant des syllogismes formellement corrects mais aboutissant à des conclusions aberrantes. Voir par exemple sur ce site.
Pour finir, on s’attend peu à rencontrer le mot horloge dans cette famille, et pourtant, une horloge est étymologiquement un appareil qui dit, indique (-loge) l’heure (horo- devenu hor-). On peut regretter qu’elle ne cueille pas chaque heure, ce qui la ferait renouer avec le sens premier de la racine, et en ferait un instrument typiquement épicurien.
Complément
Toute la famille du mot religion est regroupée sous l’entrée lier, même si parfois elle est étymologiquement rattachée à lire.
Viennent du grec des mots comme le lexique, éclectique, la dyslexie, la nécrologie, le logicien, le monologue, l’épilogue, homologue, le logiciel, l’astrologie, l’astrologue, astrologique, et de nombreux autres termes comportant le radical sous les formes logo- ou -logie ou -logue ou -logisme, comme l’anthologie, la mythologie, la sociologie, la radiologie, l’audiologie, l’angiologie, la philologie, le philologue, philologique, le radiologue, le sémiologue, l’ethnologue, le néologisme, le logographe, la logomachie.
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Abréviations et conventions concernant la langue :
abr. |
abréviation |
adj. |
adjectif |
adv. |
adverbe |
a. fr. |
ancien français |
c.-à-d. |
c’est-à-dire |
cf. |
confer |
ex. |
exemple |
fam. |
familier |
fém. |
féminin |
hyb. |
hybride |
id. |
idem, pareillement |
loc. |
locution |
masc. |
masculin |
neut. |
neutre |
part. |
participe |
p.-ê. |
peut-être |
plur. |
pluriel |
pop. |
populaire |
préf. |
préfixe |
prép. |
préposition |
pron. |
pronom |
rac. |
racine |
rad. |
radical |
sing. |
singulier |
subst. |
substantif |
suff. |
suffixe |
vb |
verbe |
Abréviations et conventions concernant le latin :
bas lat. |
bas latin (à partir du IIIe siècle de notre ère) |
lat. |
latin classique |
lat. ecclés. |
latin ecclésiastique (langue des auteurs chrétiens à partir de la fin de l’Empire) |
lat. imp. |
latin impérial (à partir de la fin du 1er siècle de notre ère) |
lat. méd. |
latin médiéval (à partir du VIIe siècle de notre ère, langue écrite) |
lat. pop. |
latin populaire (à partir du IIIe siècle de notre ère, et dont les formes ne sont pas attestées dans les textes) (1) |
lat. vulg. |
latin vulgaire (à partir du IIIe siècle de notre ère, et dont les formes ne sont pas attestées dans les textes) (1) |
grom |
gallo-roman = latin parlé au Moyen Âge |
lat. bot. |
latin des botanistes |
Abréviations et conventions concernant les autres langues :
alld. |
mot directement emprunté à l’allemand, mais d’origine latine |
als. |
mot directement emprunté à l’alsacien, mais d’origine latine |
angl. |
mot directement emprunté à l’anglais, mais d’origine latine |
ara. |
mot directement emprunté à l’arabe, mais d’origine latine |
bre. |
mot directement emprunté au breton, mais d’origine latine |
celt. |
mot directement emprunté au celtique, mais d’origine latine |
esp. |
mot directement emprunté à l’espagnol, mais d’origine latine |
fran. |
mot directement emprunté au francique, mais d’origine latine |
germ. |
mot directement emprunté au germanique, mais d’origine latine |
it. |
mot directement emprunté à l’italien, mais d’origine latine |
occ. |
mot directement emprunté à l’occitan, mais d’origine latine |
piém. |
mot directement emprunté au piémontais, mais d’origine latine |
port. |
mot directement emprunté au portugais, mais d’origine latine |
prov. |
mot directement emprunté au provençal, mais d’origine latine |
< alld. |
mot emprunté à l’allemand, mais d’origine latine |
< als. |
mot emprunté à l’alsacien, mais d’origine latine |
< angl. |
mot emprunté à l’anglais, mais d’origine latine |
< ara. |
mot emprunté à l’arabe, mais d’origine latine |
< bre. |
mot emprunté au breton, mais d’origine latine |
< celt. |
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< esp. |
mot emprunté à l’espagnol, mais d’origine latine |
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mot emprunté au francique, mais d’origine latine |
< germ. |
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< it. |
mot emprunté à l’italien, mais d’origine latine |
< occ. |
mot emprunté à l’occitan, mais d’origine latine |
< piém. |
mot emprunté au piémontais, mais d’origine latine |
< port. |
mot emprunté au portugais, mais d’origine latine |
< prov. |
mot emprunté au provençal, mais d’origine latine |
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i.-e. |
indo-européen |
arg. |
argot |
arc. |
archaïque |